Non, ça n’est pas une caserne de pompiers, même si c’est rouge.
Non, ça n’est pas le Tardis, car ce serait bleu.
Oui, c’est bien une cabine téléphonique britannique.
Il y a la couronne royale pour en attester.
Une authentique « Red telephone box »…
Dans une commune anonyme de France.
Avec une idée sympathique, utile…
La transformer en « Cabine à livres » !
Sur les vitres de la porte, il est écrit :
Partagez vos lectures !
Je dépose
J’emprunte
Je lis
Je rapporte
Bon, les étagères sont un peu vides…
Mais le lieu est propre et a l’air respecté.
Pas d’annuaires à l’intérieur, genre Pages jaunes.
Pas la place pour une Encyclopædia Universalis.
Pas de place non plus pour le numérique, et c’est tant mieux.
À hauteur de mon regard, entre autres ouvrages :
- Pour arriver à temps
- L’orgie, la neige
- Je veux vivre ma féminité
- Un rendez-vous d’amour
- Trois sucettes à la menthe
- Le prince et la chanteuse
- La princesse aux pieds nus
- Un guide Michelin « Bretagne »
- Comment se faire des amis
J’aurais bien été tenté par le dernier…
Vu qu’avec ce blog, je sais surtout me faire des…
ENNEMIS !…;-)
PS : « … pour une livre » (dans le titre), car British Telecom, après les avoir vendues aux enchères, les proposait — à partir de 2010 — à des collectivités locales pour une livre sterling symbolique.
Vignette : « So British! » © PF/Grinçant.com (2018)
© PF/Grinçant.com (2018)
Mon grand-père avait pour habitude de dire : « Mon dieu, protégez moi de mes amis. Mes ennemis, je m’en charge. »
Ne jamais laisser indifférent.
Avoir des ennemis et par conséquent normal et même sain.
Après, tout dépend de leur nombre et de leur férocité…
Bon, je pense que les miens sont trop nombreux — même en les compactant — pour tenir dans cette cabine téléphonique/à livres. ;-)
En fait, ce sont peut-être des amis, d’une certaine façon… Qui sait ?
Vous, je ne sais pas dans quel camp vous placer…
Vos trois posts de cette nuit sont passés à la trappe (troll avéré, et fier de l’être).
Mais comme celui-là est à peu près pertinent (dans les sous-entendus), je laisse…
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