Depuis plusieurs jours, je passais régulièrement faire ma cueillette de prunes, des reines-claudes, dans les étals fruitiers de cette supérette U-Express.
J’avais en effet décidé d’investir plus que les 1,96 € du kilo payés récemment dans un Leclerc pour des “Golden Japan” finalement totalement immangeables.
Je croyais que ces prunes avaient été créées par la célèbre Madame Claude, mais non, c’était en l’honneur de Claude de France, la femme de François Ier.
Elles sont à peu près à point, et presque goûteuses.
2,99 €/kg, c’est le prix que je payais, et je trouvais cela bien assez cher :
Je sais qu’ils se plaignent tous, le lait avec Lactalis, la viande avec la filière, le maïs aux épis sans grains (probablement merci à Monsanto et consorts)…
Mais là, j’en reviens bredouille.
En effet, habitué de la touche 89 à 2,99 €/kg, j’ai été stoppé par une culbute à 5,95 €/kg.
En plus, elles étaient plus moches que les jours précédents.
Pour la même quantité, mon étiquette serait passée de 2,62 € à 5,21 €.
Ou, au lieu de 876 grammes, je ne serais reparti qu’avec 440 petits grammes…
Et chez Madame Claude, quel était le tarif de la Dame de la Chambre 89 ?
La “culbute” y aurait certainement été plus agréable, voire justifiée !
© PF/Grinçant.com (2016)
Votre cul bute sur la culbute ?
Disons que oui, une augmentation de 99 %, du jour au lendemain, pour des prunes visiblement invendues de la veille, c’est une belle culbute, et ça me laisse sur le cul :-/
Les commentaires sont fermés.