Non, je ne fais pas dans le documentaire animalier.
Mais, comme j’ai été témoin de ces scènes…
Je les partage avec plaisir.
J’ai été étonné, subjugué.
Au point que j’ai filmé, pour une fois.
Pour montrer des choses simples, naturellement épatantes.
Alors, si vous avez quelques minutes.
Et un minimum d’empathie envers la nature.
Place aux poissons-chats et à la Grande Aigrette !
PS : En cas de problèmes avec la vidéo brute, vous pouvez opter pour le flux en streaming de YouTube (lien en dessous de chaque vidéo).
La chorégraphie des alevins poissons-chats
Regardez comme c’est plaisant…
Ils se rejoignent, ils s’éloignent.
Se retrouve en bandes, organisées et désorganisées.
À effectuer des figures en groupe(s).
À respecter une logique intrigante.
À virevolter, accélérer, freiner.
Pour nous offrir de multiples tableaux.
J’ai cru y voir une carte de France. (3:48)
Et même un phallus en guise de clôture.
Pour le reste, laissez libre cours à votre imagination…
Mère poisson-chat et sa grande famille
Là encore, un beau spectacle.
Sous la surveillance, voire la supervision de la mère.
Des petits êtres par dizaines, centaines, voire milliers.
Occupés à vivre, tout simplement.
À nager, zigzaguer, mener ou suivre.
Cette famille s’agrandit à vue d’œil.
Éparpillée, elle se regroupe, se disloque.
Pour se livrer à des sortes d’émeutes.
Sans robocops, ni syndicats ou casseurs.
Cela reste bon enfant, et surtout épatant à regarder.
Grande Aigrette et simagrées de canards
Presque six minutes à filmer.
À main levée, et ça a du sens.
Vous comprendrez pourquoi à la fin.
D’où une qualité que je vous demande d’excuser.
Mais quelle beauté que cette Grande Aigrette !
En train de chasser, de pêcher, de déguster.
Deux petits poissons en festin. (0:53, puis 2:55)
Jusqu’au moment où elle semble m’avoir repéré. (3:39)
Avant la scène hilarante des six canards. (4:05)
Mêlant sang-gêne et culot dans un léger affolement.
Vignette : « La divine aigrette » © PF/Grinçant.com (2016)
© PF/Grinçant.com (2016)