Après ma mauvaise expérience du « troupeau » et ma fuite de la forêt de mercredi dernier, le retour !
Après quelques jours difficiles bourrés de mauvaises ondes, je suis ressorti pour en rechercher des positives.
Et comme je dis que quand l’on persévère, l’on a souvent une récompense…
Splendide créneau météo, magnifique ambiance automnale.
Pas de chevreuil, ni d’écureuil, et encore moins de geais visibles (mais parfaitement audibles).
Par contre, je vais probablement faire des envieux et des envieuses ;-P
Bien caché sous des herbes, avec un gros brin de mimétisme.
Un magnifique chapeau brun et un pied des plus sexy.
Plus de 18 cm de hauteur, et un tour de tête de près de 50 centimètres.
Une jolie pièce de 362 grammes sur la balance.
Une offrande de la nature comme je les aime.
Sans Thiabendazol, Orthophénylphénol, Imazalil, E904 et E914, comme mes récentes clémentines.
Et encore moins d’Hémicellulases alpha amylases pour faire lever le mycélium.
Mon fidèle couteau n’en revient pas, et il a voulu poser à côté pour une photo.
Je vous présente un joli Boletus pinophilus ou Cèpe des pins…
Miam !
© PF/Grinçant.com (2016)
A poêler doucement, jusqu’à faire légèrement griller.
Bonap
Ah, un gastronome puriste probablement épicurien !;-)
Et figurez-vous qu’en pleine forêt, je suis aussi tombé sur un… pommier richement doté en fruits !
Les pommes, ça n’est pas ma tasse de thé, car c’est presque maintenant ce que l’on trouve de pire dans le commerce.
Mais là, vous auriez senti l’odeur rien qu’en épluchant…
Donc, cèpe poêlé avec une pomme de la même forêt… SUCCULENT !